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Possession

ELANA JOHNSON

Le résumé

Dans le monde de Violette, personne n'imagine transgresser les règles des Penseurs. Eux seuls décident des lois et ont le pouvoir d'influencer les esprits. Mais Violette refuse de se soumettre. Alors qu'un soir de couvre-feu elle rend secrètement visite à Zenn, celui qu'elle aime depuis toujours, elle est envoyée en prison. Là-bas, elle fait la connaissance de Jag, un membre actif des Rebelles. Elle va vite comprendre que ce jeune homme aussi mystérieux qu'irrésistible peut la conduire vers de nouveaux horizons affranchis de l'emprise des Penseurs. Mais elle découvre également le prix de la liberté. Violette saura t-elle affronter la vérité sur les siens ?

Alors, alors...

Quand j'ai reçu le livre dans le cadre d'un partenariat sur Livraddict (merci à la team et aux editions Michel Lafon), j'étais plus qu'impatiente de commencer le livre. Je venais de découvrir l'univers de la dystopie avec la trilogie d'Hunger Games et il me tardait de me replonger dans une histoire du même genre.

Hélas, mille fois hélas, la magie n'a pas fonctionné. Dès le début du livre je me suis retrouvée projeté dans un univers futuriste mais au combien complexe et incompréhensible de par la densité des informations à ingérer.

Les loyaux, les rebelles, la tech, l'Association...impossible pour moi de m'y retrouver. L'auteure nous délivre son histoire comme s'il y avait déjà eu un premier tome qui nous avait permis d'appréhender ce qu'elle nous raconte.

De plus, le fil de l'histoire est tout aussi brouillon. J'avais l'impression qu'il manquait des chapitres entre chaque rebondissement ce qui rendait encore plus frustrant la lecture. Je dois avouer que malgré toute ma bonne volonté je n'ai rien compris à l'histoire et où Elena Johnson voulait en venir.

Difficile dans ces conditions de trouver les personnages intéressants car j'étais trop occupée à essayer de ne pas perdre le fil du roman. 

Violette, qui est au centre de l'intrigue, nous fatigue avec ses perpétuelles tagiversations entre les deux personnages masculins du livre et ses "je t'aime, moi non plus" à répétition.

Zenn et Jag dont il est question plus haut ne présentent aucun intêret, l'un étant inexistant et l'autre pour lequel l'intérêt faiblit au fil des pages puisqu'on ne peut comprendre son cheminement.

Vous l'aurez compris c'est une immense déception !! Une suite est prévue mais ça sera sans moi

 Ma note : 2/10. Je pensais qu'il serait impossible de faire pire que "Le baiser de l'ange". Et bien si, c'est possible!!

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